Avez-vous besoin d’un coach en développement personnel ?

Le coaching de vie est un accompagnement tourné vers l’action, qui aide à lever des blocages pour atteindre un objectif concret et personnel.

Un coach ne soigne pas, il soutient un désir de changement. Un psychologue accompagne les souffrances psychiques et émotionnelles. 

Non. Le coaching peut être complémentaire à la thérapie, mais ne s’y substitue pas. Le coaching travaille sur le « comment avancer », la thérapie sur le « pourquoi je bloque ».

Le coaching s’appuie sur vos ressources internes. Mon rôle n’est pas de vous dire quoi faire, mais de vous aider à trouver vos propres solutions. Un consultant, un mentor ou un formateur va plutôt vous donner des conseils, des outils, des méthodologies « clés en main ».

Si vous avez un désir de changement professionnel, personnel ou émotionnel ; si vous sentez un blocage ou une forme d’insatisfaction; si vous avez des projets mais vous procrastinez ; si vous manquez de confiance, de clarté ou de direction…

En théorie, il n’y a pas de minimum d’âge pour démarrer un coaching. Certains coachs accompagnent des enfants et des adolescents sur l’orientation scolaire, par exemple.

En ce qui me concerne, j’ai choisi d’accompagner uniquement les adultes car le coaching implique un passage à l’action. Or, dans la plupart des situations, c’est le parent qui décide pour l’enfant jusqu’à sa majorité. De plus, chez les enfants et les adolescents, les enjeux sur la construction de la personnalité psychique sont très importants. Selon moi, ils doivent rester entre les mains d’un professionnel formé à ces dynamiques comme un psychologue, un pédo-psychologue/psychiatre ou encore un psychomotricien(ne).

Certains coachs de vie le proposent. Là encore, ce n’est pas mon cas. Ma manière de coacher est très profonde dans la connaissance de l’individu et de ses dynamiques. Par conséquent, je préfère que chacun ait un espace d’expression qui lui est propre.

Si vous souhaitez diriger votre partenaire ou un membre de votre famille vers un coach pour qu’il puisse également suivre son coaching individuel, je peux tout à fait vous transmettre les coordonnées d’un ou plusieurs confrères.

Bien sûr, et heureusement. Il n’y a pas de grille définissant les personnes qui auraient besoin d’en faire et d’autres non. Chaque être humain a sa place autant que son voisin. C’est plus une question de soi à soi. Si vous en ressentez le besoin, c’est suffisant.

Une séance de coaching dure 1h. Elle repose sur un échange actif entre le coach et le coaché. Le coach de vie est amené à poser des questions, reformuler, proposer des exercices ou des axes de réflexion.

Cela dépend de votre objectif à atteindre et de votre engagement. Je considère que le coach n’a pas à définir un nombre de séances précis mais qu’il doit s’adapter à vous. Pour être tout à fait honnête, j’en serais même incapable lors de notre rencontre. Il faut que le cadre reste souple pour que vous puissiez avancer à votre rythme sans vous sentir bloqué par une « date de fin ».

En général, le coaching suit un rythme d’une séance toutes les deux semaines. Sur la fin du processus, les séances peuvent être espacées de 3 semaines après commun accord entre vous et moi.

Bien sûr ! Même si tout coach aspire à vous accompagner jusqu’à l’atteinte de votre objectif, vous pouvez y mettre fin dès que vous en ressentez le besoin. Le coaching est un travail d’équipe, il est donc essentiel que nous puissions discuter en séance de votre volonté d’arrêter le travail que l’on a mené ensemble. Nous pouvons ainsi prévoir une dernière séance de bilan qui nous permet de bien ranger tout ce sur quoi nous avons travaillé ensemble si vous souhaitez poursuivre sans moi.

La vie continue ! Au-delà de l’atteinte de votre objectif, l’enjeu du coaching est aussi de vous rendre autonome. Vous repartez donc avec des outils, des prises de conscience et de nouveaux mécanismes pour vous aider à faire face aux nouvelles situations qui se présenteront à vous.

Tout à fait, et je peux vous dire que vous ne serez pas la première personne à le faire. J’exerce maintenant depuis de nombreuses années, il m’arrive régulièrement de démarrer un nouveau coaching avec un ancien coaché sur un nouvel objectif ou un autre aspect de sa vie.

La relation de confiance étant déjà établie, le travail se met plus rapidement en place. Et c’est toujours un plaisir pour moi d’accompagner à nouveau des personnes que j’ai déjà eu la chance de suivre sur une précédente tranche de vie !

Mieux comprendre votre fonctionnement, identifier vos blocages, prendre des décisions plus sereines, améliorer vos relations, devenir acteur de votre vie… Les bénéfices sont nombreux et font écho à l’objectif que vous vous êtes fixé en début de coaching.

Oui, s’il est mené avec engagement. Le changement ne se fait pas en 3 séances comme par magie. Il est le fruit d’un travail profond et sincère.

Oui, les séances peuvent se faire en visio ou par téléphone. J’ai pu l’expérimenter durant les différents confinements et avec les personnes que j’accompagne qui vivent en dehors de Paris ou à l’étranger.

L’efficacité est équivalente à condition d’avoir un bon cadre (un endroit calme, un environnement confidentiel où vous pouvez parler librement et avec une bonne connexion).

Le coaching de vie n’étant pas du soin, il ne peut donc pas être pris en charge par l’Assurance Maladie ou une mutuelle santé.

Contrairement à d’autres métiers de l’accompagnement, le coaching de vie est assujetti à la TVA. Par ailleurs, un coach doit investir dans sa formation continue, sa supervision et sa thérapie personnelle sans compter les charges inhérentes de tout indépendant.

Pour moi, il y a plusieurs éléments à prendre en compte : la formation (bien qu’elle ne soit pas obligatoire), le respect de la déontologie, l’expérience mais aussi le feeling – le coaching est aussi et surtout une question de confiance.

Je dirais que ce n’est pas forcément nécessaire car un coach adopte la même posture et utilise les mêmes outils, peu importe la thématique abordée : l’écoute active, le questionnement, la reformulation, la bienveillance.

Toutefois, si c’est important pour vous et que cela vous rassure d’être accompagné par un coach spécialisé, écoutez-vous. Vous savez mieux que quiconque ce dont vous avez besoin.

Oui. Même si le métier n’est pas réglementé, la déontologie impose la stricte confidentialité des informations qui lui sont partagées par ses coachés.

Cela peut arriver. Je vous conseillerais d’abord d’en parler avec votre coach pour voir s’il y aurait un moyen d’améliorer la situation. C’est d’ailleurs un bon exercice, à la fois de respect de soi et d’affirmation de soi mais aussi de communication.

Si le problème persiste, il faudra envisager de changer de coach car l’accompagnement en développement personnel repose avant tout sur la qualité de la relation entre le coach et le coaché. Si cela arrive durant un coaching avec moi, je pourrai vous transmettre les coordonnées de confrères pour que vous puissiez poursuivre avec un autre professionnel.